Dans ce quatrième épisode de notre rapport spécial sur le COVID-19 et ses implications pour l'immobilier logistique, nous nous plongeons dans nos données exclusives pour mettre en évidence les tendances du secteur de la clientèle au cours de chaque phase de la pandémie à ce jour.
Introduction
La demande d'immobilier logistique continuera d'évoluer à mesure que les comportements des consommateurs et les chaînes d'approvisionnement se modifient. Le portefeuille mondial de Prologis, d'environ 1 milliard de pieds carrés, illustre la diversité de la clientèle de l'immobilier logistique, aucune industrie ne représentant plus de 15 % du loyer de base. Cette diversité, associée au rôle essentiel des chaînes d'approvisionnement dans toutes les formes de génération de revenus, favorise la résilience car près de 60 % des industries clientes sont en croissance.
Prologis Research a divisé l'impact du COVID-19 en trois phases : l'économie de l'immobilisme, la reprise et la nouvelle normalité. Dans ce document, nous nous sommes concentrés sur les deux premières phases et nous les avons reliées aux tendances clés qui pourraient entraîner une augmentation ou une diminution de l'immobilier logistique en fonction de l'industrie cliente. Les ventes au détail du recensement américain par catégorie démontrent la performance relative.1 Dans notre prochain article, nous nous concentrerons sur les leçons tirées de la pandémie en matière de chaîne d'approvisionnement, en mettant davantage l'accent sur les industries clientes clés et les impacts à plus long terme.
Our current analysis focuses on the near-term economic phases of the pandemic:
- L'économie du foyer. Les ventes au détail de mars par catégorie, lorsqu'elles sont pondérées par les industries de l'immobilier logistique, ont surpassé les résultats de 730 points de base, avec une baisse de 1,4 % contre -8,7 % pour les ventes au détail totales.2
- La reprise. Lors des récessions précédentes, les ventes au détail dans les industries immobilières logistiques ont surpassé de 330 points de base la croissance totale des ventes au détail.3